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Lorsqu’un immeuble est évalué dans le compte actif, le terrain et le bâti doivent être comptabilisés séparément. Il s’avère nécessaire de procéder à cette différenciation, car une construction peut s’amortir contrairement à un terrain. Pour vous aider à mieux comprendre sur le sujet de l’évaluation des terrains, cet article vous donnera plus de détails concernant la comptabilité immobilière.
Principe de la comptabilité immobilière
En comptabilité, le fait d’entrer dans un immeuble signifie affecter une quote-part de sa valeur au terrain et une autre à la construction. En raison de l’absence de règlement impératif imposé par le PCG ou plan comptable général, la société se trouve dans l’obligation de procéder à la ventilation justement sous sa responsabilité respective. Cette distribution est en effet très fondamentale, car si le terrain est amortissable, la construction, au contraire, l’est.
La tendance naturelle permet au comptable à Saint-Gilles, Ixelles et à Bruxelles de retenir une évaluation faible pour le terrain et une autre évaluation assez élevée de la construction. À ce titre, ce dispositif sert à l’entreprise ainsi qu’au prestataire comptable immobilier de majorer le coût dédié aux amortissements. Ceux-ci permettent singulièrement de compenser au maximum la perte de valeur comme la dégradation sur un immeuble.
Les amortissements représentent un facteur déterminant incitant les sociétés de BTP à constituer plus de réserves afin de subvenir au financement de travaux (reconstruction, réfection, etc). Une telle répartition permet d’amenuiser considérablement le résultat taxable sans pour autant réduire le volant de cash dont la structure dispose.
Méthode d’évaluation des terrains
Dans la plupart des cas, bon nombre de prestataires comptables procèdent à l’évaluation d’un terrain de façon forfaitaire à 10 ou 20% de la totalité de la valeur d’un bien. Ces terrains seront évalués dans la partie de compte 211. Parfois la valeur donnée au terrain est minorée ce qui entraine en effet le recours à un comptable à Saint-Gilles en vue d’obtenir une valeur exacte selon la tendance du prix de marché observé.
L’administration fiscale doit recourir à quelques procédés pour pouvoir remettre en cause la ventilation retenue par une société de bâtiment. Le fisc a le choix d’établir des comparaisons sur les cessions de terrains nus. Cela équivaut à la situation géographique et aux droits à construire. Cette opération se réalise à des dates proches de celle de l’entrée du bien au bilan.
Aussi, évaluer la valeur de la construction est possible à partir de son coût de reconstruction précisément à la date de son insertion au bilan avec prise en compte, de son état d’entretien ou encore de sa vétusté. Dans le cas où la remise en cause de la ventilation de la valeur de tout l’immobilier entre les constructions et le terrain est souhaitée, le Fisc doit trouver le fondement des transactions intervenues dans la zone géographique.