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C’est quoi un centre d’appel offshore ?
Si vous êtes sur cette page, c’est certainement parce que vous n’avez jamais entendu parler de « centre d’appel offshore » et vous désirez avoir sur le sujet de plus amples informations. Si c’est le cas, alors vous êtes à la bonne adresse.
Définition de centre d’appel offshore
Commençons d’abord par l’explication du terme « offshore », car à première vue c’est ce mot qui parait inconnu. Offshore est en effet un mot anglais qui signifie littéralement « en mer ». Il a été utilisé pour la première fois pour désigner les plateformes pétrolières en pleine mer. Aujourd’hui, il est employé dans plusieurs domaines. Dans le cas d’espèce, le terme offshore est utilisé pour désigner une entité juridique installée dans un pays extérieur à celui où une entreprise exerce son activité principale. Autrement dit, un centre d’appel offshore est une entreprise spécialisée en gestion relation client et en traitement d’appels située dans un pays différent du pays dans lequel s’exerce l’activité. Cela a l’avantage de permettre une baisse considérable des coûts contrairement aux centres d’appel inshore. Vous pouvez donc retrouver les centres d’appels offshore visant le marché français se trouvent dans les pays comme la Tunisie, le Maroc ou l’ile Maurice.
Qu’est-ce qui a favorisé le développement des centres d’appel offshore ?
Les centres d’appels offshore ont le vent en poupe aujourd’hui. Le premier facteur ayant favorisé ce phénomène est la chute des coûts de communications internationales. Cela permet de bénéficier des coûts nettement inférieurs à ceux du territoire français. Ensuite, il y a le développement d’Internet et des technologies associées. Ces différents éléments favorisent en réalité une grande intégration d’un centre d’appels offshore avec le système d’information ou les données CRM d’une société.
Bon à savoir : Ne confondez surtout pas Offshore et délocalisation. Même si les deux mots ont tendance à se ressembler, ils ne renvoient pas à la même réalité. « Offshore » prend en compte le côté juridique et « délocalisation », le coté production.